Max-Planck-Institute for Medical Research-Department of Chemical Biology-Heidelberg Luciferases with Tunable Emission Wavelengths. Angew Chem Int Ed Engl. 2017 Sep 22. doi: 10.1002/anie.201708277. PMID: 28941028
Hiblot J, Yu Q, Sabbadini MDB, Reymond L, Xue L, Schena A, Sallin O, Hill N, Griss R, Johnsson K.
Cv
Agé de 31 ans, Julien Hiblot a effectué son cursus universitaire à l'Université de Lorraine où il a obtenu un Master en Biochimie et Biologie Moléculaire ainsi qu'un Magistère d'Enzymologie et Microbiologie. Après avoir effectué sa thèse en biologie structurale à l'Université d'Aix-Marseille au laboratoire d'Architecture et Fonction des Macromolécules Biologiques (AFMB) puis à l'Unité de Recherche sur les Maladies Infectieuses Tropicales Émergentes (URMITE) ; il a effectué un post-doctorat à l'Ecole Polytechnique Fédérale de Lausanne (Suisse) dans le Laboratoire d'Ingénierie des Protéines (LIP). Il est actuellement chercheur à l'Institut Max Planck (MPI) pour la recherche médicale à Heidelberg (Allemagne) au sein du département de chimie-biologie (ChemBio). Ses recherches portent sur le développement de senseurs semi-synthétiques afin d'aborder sous un jour nouveau des questions biologiques complexes. Ces senseurs, combinant une composante biologique et chimique, permettent de mettre en lumière, au sens propre du terme, des voies de signalisation et des voies métaboliques qui sont jusqu'à présent restées dans l'ombre.
Contact
MPI for Medical Research
Chemical Biology department
Jahnstrasse 29
D-69120 Heidelberg
Germany
Résumé de l'article
We introduce luciferases whose emission maxima can be tuned to different wavelengths by chemical labeling. The luciferases are chimeras of NanoLuc with either SNAP-tag or HaloTag7. Labeling of the self-labeling tag with a fluorophore shifts the emission maximum of NanoLuc to that of the fluorophore. Luciferases with tunable colors have applications as reporter genes, for the construction of biosensors and in bioimaging.